Archives d’un auteur

Que faire de 15 pelotes de Cashmérino Aran bien douce? Une envie qui traîne
depuis l’ été dernier quand a paru ça:
 
                                    

Alors c ‘est parti! voilà les débuts…376 mailles sur l’ aiguille  c ‘est pas rien!

Pour le moment c ‘est facile même si je trouve les tours interminables…mais les
ennuis viendront certainement bientôt!

il faut mettre un peu de couleur dans sa vie.
L’écharpe est terminée, il manque quelques fioritures au bout. Là, j’ hésite:
pompons, perles, rubans, franges…

              Vagues colorées pour faire trembler l’ hiver

C’ était un petit intermède pour attendre la laine de Silver Belle. Mon mari ayant
fait le détour par le Bon Marché je suis maintenant l’ heureuse propriétaire de 15
pelotes de Cashmérino Aran de Debbie Bliss.

Allez, je cours monter mes 370 mailles! Je vous tiens au courant….

                        Trouvé sur le blog de  Trois anges passent:
                                          
                                           Un petit jeu rigolo

                                       

                                                

Donc mon niveau est plus que léger! De quoi vous saper le moral dès le reveil!

Vous cliquez ICI, puis vous rentrez l’ URL de votre blog! La réponse est
instantanée… et pleine de surprises!
 

   Mon ordinateur revient de loin! Un petit arrêt cardiaque cette semaine, avec ré-
animation, soins intensifs…et rechute avec des complications du côté de la carte
graphique! Heureusement que le chirurgien qui était  de garde aux urgences ce
jour là a eu le geste précis et que l’intervention a été rapide!
Voilà, maintenant il se remet doucement, sous surveillance…mais les « tripes » à
l’air au cas où!
En attendant ma commande  de Cashmérino Aran passée au « Bon Marché », et qui
devrait arriver la semaine prochaine, je vide mon tiroir à laine et j’ai entrepris de
faire une 
écharpe avec les restes des différentes réalisations de ces derniers mois.

                                                

   

   

    En avant donc en gris, fushia, orange, en

    mohair, alpaga, mérinos;

    C’est sûr, ce sera moins chic que sur la

    photo…mais en gaieté, pour vaincre les

    rigueur de l’ hiver, j’y gagne! 

Puis, comme beaucoup j’ai succombé à l’appel de    et
j’ attends avec impatience mon invitation! Allez courage, il ne reste plus que 7651
personnes devant moi. Juste après 2085 bloggueuses  attendent leur tour!



Il est sur mes épaules, tout doux, léger et bien coloré! Nul doute que l’on me
repérera de loin…mais j’assume!

                     

                            Iquitos, modèles Dodile, Alpaga, aiguilles 4,5

Et voilà que hier rentrant d’un long et délicieux week-end passé à Oléron chez
une amie, je trouve dans mes messages un mot de Ninne m’assurant que je
mérite ce :

                                              

Elle est bien trop gentille notre Ninne…mais me voilà dans l’obligation de désigner
à mon tour dans la multitude de mes blogs favoris ceux qui vont arborer ce
macaron comme une légion d’honneur…et horreur, je ne peux faire un choix entre
tous ceux qui me font rêver, rire, réfléchir, m’informent, m’aident…alors comme
vous le méritez toutes et tous vous pouvez l’arborer au revers de votre veste et à
droite de votre blog.
Ne dites à personne que je botte en touche, je ne me défile pas…je fédère!!!

C’est le titre d’un petit livre de Muriel Barbery, un auteur dont je vous
ai déjà parlé ici.

                           

Elle a écrit l’an dernier  » l’élégance du hérisson » qui m’avait enchanté. Il n’ a pas
enchanté que moi puisqu’elle avait obtenu le Prix des Libraires 2007.
S’appuyant sur ce succès bien mérité, les éditions Folio ont réédité son premier
roman: Une gourmandise (numéro 3633).
Ce livre avait également obtenu en 2000 le Prix du meilleur livre de littérature
gourmande, et en 2001 le Prix Bacchus-BSN.
On peut affirmer que ce titre est le résumé exact de ce petit bijou. Il nous raconte
les derniers jours du Pape de la gastronomie (personnage fort peu sympathique)
à la recherche d’un souvenir. Celui de l’ultime saveur qui lui permettra de partir
plus serein dans l’Autre Monde.
165 pages pour découvrir sa vie de gastronome curieux et intransigeant, d’enfant
nourri par les femmes de sa famille avec amour…bref un petit ouvrage à déguster
sans modération jusqu’à la découverte incongrue du souvenir libérateur…mais chut…

Un repas du dimanche…avec un dessert de saison tiré d’un vieil
ELLE à table.
Le « chef pâtissier », à la maison, c’est mon mari! Mais aujourd’hui c’est moi. Dans
mon élan j’ai fait aussi un dessert qui rallie toujours tous les suffrages.

   Pain-perdu de pain d’épice aux poires et caramel de beurre salé

Il faut des poires, 4 ou 5, pas trop mûres.
Du beurre salé (assez pour beurrer le pain d’épice et faire cuire les poires).
Du pain d’épice en tranche (assez pour en tapisser un plat à gratin)
20cl de crême fraîche liquide ou semie liquide.
1 cuillère à soupe d’ alcool de poire.
Quelques cuillères à soupe de sucre roux ou muscovado ou vergeoise brune.

Dans une poële faire blondir dans le beurre salé les poires pelées et coupées en 8.
Quand elle sont presque cuites rajouter 3 cuillères à soupe de sucre pour former
une sorte de caramel (de beurre salé, hummmm!).
Recouvrir un plat à gratin de tranches de pain d’épice que l’on aura beurrées. Le
beurre côté plat.
Sur le pain d’épice on pose délicatement (ou pas!) les poires et le jus qu’elles ont
produit.
Dans un saladier mélanger la crême fraîche, l’alcool de poire et 2 à 3 cuillères de
sucre. Couvrir de ce mélange les poires.
On enfourne pour un quart d’heure, 20 minutes dans un four chaud (TH 7 ou 210°).

En fait, on le sort quand c’est bien gratiné…et que la cuisine embaume!
Se mange chaud, tiède ou froid…et c’est trèèèèèès boooonnnnn!

Côté cuisine, c’est bon! Côté tricot…c’est un peu dur en ce moment. Je n’ avance
pas assez pour que je puisse faire une photo qui en vaille la peine.
Déjà, je réfléchis au prochain pull qui pourrait être un « Silver belle« , mais je vais
mettre le turbo pour finir Iquitos, promis.

C’était vendredi, à Toulouse.

A l’initiative de CASA se sont rencontrées les blogueuses créatives de Toulouse et
son agglomération. Nous étions 12, mais beaucoup d’autres ont été empêchées
de se joindre à nous.

Comme le soleil était de la partie nous avons déjeuné
sous les arbres et ce fut très agréable d’échanger des
adresses,  techniques, recettes de cuisine et cerise sur
le gateau de repartir avec un cadeau fait main par ces
gentilles fées.
« Badgées » comme pour un congrès des plus sérieux
nous avons partagé des petits plats délicieux , dévoré

les  macarons de Peggy ( n’est-ce pas Casa?!?), la tortilla de Maribel (Ah, le goût
de l’ Espagne!), les gateaux sucrés et salés de Barbara
et les douceurs de toutes
les autres participantes.

   
                          Beau tableau pointilliste, n’est-ce pas?

Je suis repartie ravie avec dans les bras la poule adorable de Maéva, créatrice de
doudous.

         

Ma contribution à cette belle journée c’est une ceinture fleurie, mais qui devra
patienter jusqu’aux beaux jours pour sortir.

               

Vous pouvez retrouver casa, Sylvie, Maribel, Peggy, Florence, Marianne, Amélie,
Maéva, Barbara, Isabelle et Lulu la Luciole sur leur blog.

…sans grands discours!

 

                                                    Il pousse

Mathilda partie pour réchauffer les jolies épaules de Marie je me suis
empressée de reprendre mes aiguilles pour commencer Iquitos, le superbe
poncho de Dodile.
Lassée du bleu j’ai jeté mon dévolu sur de l’alpaga de Plassard d’une belle couleur
rouille. Comme d’habitude j’ai recommencé 3 ou 4 fois le début d’Iquitos: tricot
trop lâche, un peu mou, qui ne me plaisait pas beaucoup.

Je suis encore un peu inquiète car malgré le changement d’aiguille (4,5 au lieu
de 5) je trouve que c’est un peu mou. J’ai bien peur de me retrouver avec une
grande cape au blocage…mais défaire encore…

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